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Une « infime » minorité terroriserait la France entière ? Ben voyons.

, par  NEMO , popularité : 51%
NJ-Ile de France
Bonjour Visiteur

Avez-vous remarqué ? Chaque fois que l’on découvre un nouveau drame, on nous ressert, de plus en plus glaçant, le plat de la « poignée » de malfaisants qui pourrissent la vie de l’immense majorité des braves gens. Admettons. Mais alors, si les forces du mal sont si peu nombreuses, qu’est-ce qu’on attend pour nous en débarrasser ?

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Prenez le cas des quartiers « populaires ». D’abord ce que l’on nomme pudiquement quartiers « populaires », tout un chacun le sait, sont tout sauf populaires. Ils le sont d’ailleurs si peu que le « peuple » d’origine, les souchiens pour faire court (mais pas seulement, les asiatiques aussi), en a été chassé par un nouveau peuple qu’il est interdit de voir, d’entendre, et de nommer. Lorsqu’ils évoquent ces quartiers prétendument « populaires », ceux qui pensent à notre place ne manquent pas de souligner que leurs habitants, et ce n’est pas tout-à-fait faux, sont les premières victimes d’éléments nuisibles particulièrement actifs, mais s’empressent d’ajouter qu’ils sont extrêmement minoritaires. Si les malfaisants sont si minoritaires que cela, si l’immense majorité des habitants de ces cités, qui autrement seraient radieuses, souhaitent vivre en paix, dans une harmonie parfaite avec les « natifs », pratiquer discrètement leur religion lorsqu’ils en ont, alors pourquoi les racailles sont-elles encore libres de poursuivre tranquillement leurs méfaits ?

Pourquoi, par exemple, dans le meurtre de Thomas, à Crépol, n’arrive-t-on toujours pas à arrêter l’auteur du coup de couteau mortel, alors, que de l’aveu même des enquêteurs, toute la cité de la Monnaie connait parfaitement l’assassin ?

Pourquoi, lorsque la police essaie d’arrêter un dealer, toute la cité se met à jeter machines à laver et autres appareils ménagers sur les forces de l’ordre ?

Pourquoi, lorsqu’un enseignant, ne faisant que son boulot, enseigne certaines matières, des parents qui « souhaitent vivre en paix gnagnagna… », le menacent, le frappent, lui sabotent son vélo ou son auto, voire le tuent ?

Pourquoi, et je m’en tiendrai là pour ne pas en faire une litanie, à chaque élection, alors que le vote est secret et donc permet à l’électeur d’exprimer librement ses choix, les cités votent-elles comme un seul Mélenchon pour LFI, le parti de « la police tue », un parti « ami » qui ne vise qu’à les enfermer dans un communautarisme arriéré ? Les habitants des cités ne sont pas des imbéciles, contrairement à ce que semblent penser les islamo-gauchistes, ils votent en conscience… Et après, comme le raconte Ménard, le maire de Béziers, des femmes musulmanes viennent le supplier de remettre des enfants « blancs » dans les écoles où il n’y a plus que de la diversité heureuse. Tiens donc. On chasse les souchiens en leur rendant la vie impossible et après on voudrait qu’ils reviennent. Sans doute pour que leurs enfants puissent se défouler sur eux ? S’il n’y a plus d’enfants « blancs » dans les écoles des « quartiers populaires, si les enseignants confirmés ne veulent plus y enseigner, si les soignants ne veulent plus y soigner, si les commerçants, les pharmacies, ferment boutique, si les pompiers ne veulent plus intervenir, la faute à qui ?

Il y a eu les émeutes de 2023, la France dévastée, mais, plus grave, ridiculisée, au bas mot un milliard d’euros de dégâts… par une infime minorité ? Mais aussi, comment voulez-vous que nous nous fassions respecter, quand nous ne sommes plus, depuis longtemps, respectables ? Il n’y a pas une semaine où l’Algérie (mais elle n’est pas la seule) ne nous sert pas une nouvelle humiliation. La dernière, il y a 3 jours, avec une nouvelle expulsion d’une quinzaine de fonctionnaires français d’Alger. Et qu’a répondu notre ministricullissime des Affaires Étrangères Jean-Noël Barrot ? Que c’était intolérable et que nous serions d’une fermeté exemplaire. Cause toujours ! Après, on s’étonne que la poignée de malfaisants grossisse jusqu’à devenir une multitude qui non seulement ne nous craint pas, mais nous méprise… Je vous le dis : au vu de l’accélération des « faits de société » qui se produisent jusque dans les plus petites communes de France, il ne nous reste que quelques mois, voire à peine quelques semaines, pour renverser la table. L’alternative est maintenant claire : ou nous choisissons la résistance, et nous affrontons la réalité avec toutes ses conséquences, ou nous nous soumettons définitivement. Le destin de notre pays est entre nos mains.