Comme tant d’autres, Elias est mort parce qu’il était « Blanc ». Faire croire qu’il a été victime d’un vol qui a mal tourné, c’est , comme le soulignait Charles Péguy, ne pas voir ce que l’on voit.
Si on en croit les générations de « franco-algériens » nés en France, confortées par une Histoire revisitée à charge, ce seraient leurs parents, venus à l’insu de leur plein gré d’Algérie, qui auraient reconstruit la France après la deuxième guerre mondiale…
Si on ne peut pas expulser les délinquants algériens, ce n’est pas de notre faute, c’est à cause des laisser-passer consulaires, geignent nos gouvernants qui ne gouvernent plus que les infractions routières et les plaintes des féministes.
Pas un jour sans une embrouille avec l’Algérie. On se laisse humilier, piétiner, insulter, ridiculiser, accuser de tous les maux du pays, et tout ce qu’on trouve à répondre, c’est de demander pardon.