Avez-vous pris votre abonnement 2025 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


ATTENTION pour 2026 les participations vont augmenter, les engagements actuels ne varient pas !
Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Vous êtes le 868ème visiteur(s) pour aujourd'hui pensez à vous abonner pour soutenir le travail du site !
Faites un Don/soutien régulier ou autre ! Soutien-Don


Des ghettos urbains communautarisés… Ben voyons !

, par  NEMO , popularité : 11%
NJ-Ile de France
Bonjour Visiteur à partir du 15 juillet 2025

Les « difficultés » qui accablent notre pauvre pays seraient encore et toujours le fait de ces salauds de souchiens racistes qui, pour ne pas avoir à les côtoyer, ont enfermé dans des « ghettos » urbains des populations qui n’aspiraient qu’au vivre ensemble.

JPEG - 89 ko

Après les quartiers défavorisés, qui m’ont inspiré la tribune de la semaine dernière, et qui seraient le côté pile de la médaille de Sainte « difficulté », en voilà le côté face : les ghettos urbains communautarisés.
Commençons donc par définir ce qu’est un ghetto, au lieu d’accepter comme pain béni les élucubrations médiatico-orwelliennes. A l’origine ghetto est le nom d’un quartier de Venise dans lequel les Juifs avaient été « invités » à s’installer au XVIème siècle, ne pouvant en sortir que la journée, et encore, pas pour aller bien loin sans autorisation. Le ghetto, dont le plus sinistrement célèbre ghetto de Varsovie, est un lieu d’enfermement (et dans le cas de Varsovie d’élimination) d’une communauté juive à laquelle on n’a laissé aucun autre choix, par des contraintes plus ou moins brutales. Admettons que par extension, ce terme s’applique à d’autres communautés que les Juifs, comme les ghettos noirs aux USA ou en Afrique du Sud, où, faut-il le rappeler, régnait l’apartheid, un système juridique d’État ouvertement raciste.

D’après donc nos brillants experts en tout, les « difficultés » viendraient en bonne part des « ghettos » urbains autour des grandes métropoles françaises, dans lesquelles la France coloniale et raciste aurait enfermé des Noirs, des Arabes, des Jaunes, et j’en passe… Sauf que ça ne s’est pas tout-à-fait passé comme on voudrait nous le faire croire. Au commencement, en effet, il y avait les HLM (habitations à loyer modéré, mais logements sociaux, ça fait moins pauvre) qui avaient été construits dans la périphérie des villes pour accueillir les nouveaux travailleurs venus du dépeuplement des campagnes (La Montagne, de Jean Ferrat, 1965), et, en partie, les Pieds-Noirs chassés d’Algérie. Ces HLM, loin d’être, à l’époque, les quartiers à la dérive qu’ils sont devenus, étaient dotés d’un confort moderne, salle de bain, cuisine, ascenseurs, qui attirait jusqu’aux classes moyennes. Et puis sont arrivés les migrants fuyant une Afrique en décomposition depuis la fin des colonies (hé oui, les colonies, ce crime contre l’humanité !), migrants qui, totalement inadaptés à notre mode de vie, ont été installés dans ces HLM où leurs mœurs, tellement éloignées des nôtres (le bruit et les odeurs de Chirac, le communautarisme en lieu et place de la collectivité), et leur nombre ont produit ce que nous pouvons aujourd’hui constater : la dégradation continue des parties communes (il suffit de visiter les pays du Maghreb, l’état des routes, les ordures abandonnées, la distribution d’eau, le réseau électrique) et le départ progressif vers des périphéries de plus en plus éloignées des habitants originaux, dont la vie était devenue un enfer. Si vous ajoutez l’urbanisation délirante, une législation qui privilégie les familles nombreuses, essentiellement africaines, au détriment des « natifs », et la pression mise par « certains » occupants pour chasser les derniers blancs qui ne sont pas encore partis (phénomène soigneusement occulté par nos belles âmes) – pour les juifs, c’est déjà fait depuis longtemps, il n’y en a plus un seul dans les cités autour de la Capitale-, ce n’est pas de « ghettos », si l’on était honnête, qu’il faudrait parler, mais de citadelles communautaires, d’où se déploient dans tout le pays, avec de plus en plus d’audace, les razzias, les trafics, les émeutes et autres « difficultés » qui font le miel des rubricards de faits divers.

Après, quand Robert Ménard raconte que des femmes musulmanes viennent pleurer dans son giron pour se plaindre qu’il n’y a plus d’enfant blanc dans la classe de leur fils chéri… « Laissez-moi rire, charmante Elvire, les loups sont entrés dans Paris. » Paroles d’Albert Vidalie, chanté par Serge Reggiani.