C’est fou comme les médias essaient de rendre Marine le Pen présentable - un comble lorsque l’on se rappelle le traitement qu’ils lui réservaient avant l’arrivée dans le champ politique de « l’empêcheur de voter ronron » Zemmour -, pour la faire arriver au deuxième tour, la pilonner de nouveau « (…)

Et pas la plupart des « journalistes » et « commentateurs » qui envahissaient les plateaux de leur bonne conscience, et qui ont essayé (sans succès) de vous empapaouter.

Zemmour a prononcé le mot « handicapés », et les petits cœurs d’artichauts de nos bien-pensants se sont serrés : faites taire cette brute haineuse que je ne saurais entendre.

C’est la hantise de Macron, ce qui lui pourrit la vie, qui l’empêche de dormir, lui qui est déjà insomniaque. Se retrouver face à Zemmour dans le débat d’entre les deux tours, devant des millions de gens qui assisteraient à sa possible humiliation, un cauchemar !

Je l’avais écrit bien avant son élection : Macron, c’est bidon. Et ce ne sont pas les presque cinq ans de sa présidence qui vont me faire changer d’avis.

« La personne de Macron ne nous intéresse pas, parce que la personne de Macron est fondamentalement inintéressante... Personne ne sait qui il est, parce qu’il est « personne »… La France a élu le néant, le grand vide… Un mannequin de plastic… qui erre dans un labyrinthe de miroirs… nous (…)